samedi 19 mai 2018

Le VERTIGE de CEEJAY.






Un air lent, mélancolique 
une saudade brésilienne 
Un vent doux
qui rythme les longs plumeaux 
au bord du ruisseau qui coule doucement 
et l’ivresse d’un alcool blanc 
distillé dans le secret des caves 
Que cette solitude est quiète 
que le temps s’étire lentement 
dans les cailloux où l’eau ruisselle 
et tintinnabule imperceptiblement 
Il n’y manque rien à ce bonheur léger 
cadeau inattendu où rien n’était prévu










CEEJAY.







©






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