mercredi 11 avril 2018

Un poème de Sylvaine DIET (France).



L’homme triste chemine
Aux méandres de sa pensée
Il meurt à petit feux de cette non croyance
Il s’est jugé tout seul
Puisant dans l’ignorance
D’une mémoire ancestrale
Sans accepter l’amour 
Qui devrait le sauver



Toi qui passe par là 
Caresse son visage
Il le découvrira peut-être 
Avant la fin des jours




















Sylvaine DIET.







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